Parentalité : qui mène la danse ?

Ateliers & stages

Une nouvelle manière de s’élever, soi et son enfant

Nos enfants ont le chic pour nous emmener en « terres inconnues » et nous faire sortir de nos gonds… bien plus souvent que nous le souhaiterions !

Combien sommes-nous à nous retrouver :
• démunis face à leurs comportements,
•   à agir comme nos propres parents, alors qu’on s’était promis de…
• à désirer profondément faire autrement mais en ne sachant pas comment…

Apprendre

l’un de l’autre

Christine Thélier - intro ateliers stages

Alors que le parent accouche de son enfant, celui-ci donne naissance à la dimension éducative de son parent. Ce jeu dansé entre parent et enfant préfigure de ce qui se joue entre les protagonistes : chacun apprend l’un de l’autre. En adoptant cette vision plurielle, une ambiance familiale apaisée, riche, intense et créative émerge alors naturellement.

Un stage ou des ateliers sont souvent les bienvenus pour insuffler cette nouvelle dynamique et amorcer avec enthousiasme cette nouvelle manière de s’élever, soi et son enfant.

En commençant par apprendre les outils sur nous-mêmes, franchement après, c’est magique : les 3 sont en demande (15, 9 et 7 ans). Je ne voulais pas qu’ils vivent la même chose que nous : on arrive à 40 ans et on est toujours en train de nettoyer nos placards ! Eux, le font au fur et à mesure. Au départ, avec la grande, c’était difficile. Et maintenant, c’est comme une drogue (!!!), c’est elle qui le demande : « je voudrais bien dormir ce soir ». Maintenant, mes enfants sont mieux dans leurs baskets et moi, je me sens beaucoup plus apaisée depuis que je fais les ateliers avec Christine. Le stress que je leur mettais : c’était incroyable, quand j’y repense ! Je n’ai plus besoin de crier autant. Je prends les choses plus à la légère. Je n’ai quasiment plus de stress. Je fais plus attention à moi. Même si j’étais épuisée, je donnais quand même. Maintenant, je m’écoute. Je ne peux pas : je ne peux pas.
Farida

Victor était très en colère, très triste. Il criait, pleurait, il avait envie de casser des trucs. Je lui ai demandé de localiser sa colère dans son corps et de fermer les yeux comme ce que tu nous as fait expérimenter au dernier atelier. Il s’est tout de suite calmé. Je lui ai demandé si la colère était partie. Il m’a dit « non », mais on a pu discuter tranquillement pour trouver des solutions.
Camille