Éduquer… Élever… S’élever…

Parents conscients

S’accueillir, s’aimer… pour aimer

Ce nouveau paradigme où le parent apprend de son enfant tout autant qu’il l’accompagne sur son chemin, nécessite quelques éclairages sur nos fonctionnements réflexes et acquis, ainsi que sur toute notre vie intérieure : celle de l’esprit, du corps et du cœur. Ce décryptage est salutaire autant pour soi que pour le quotidien avec nos enfants.

En groupe ou en individuel, recevez les clés pour mettre en œuvre ce nouveau lien à soi et à l’enfant. Le parcours est double et les deux modules se font écho sans cesse dans la vie de tous les jours.

Parent

apprenant et accompagnant

Les clés pour le parent apprenant.

Mon enfant, par ses comportements, attire mon attention sur mes capacités :
• à m’accueillir totalement dans tout ce que je suis et ressens
• à vivre pleinement dans l’ici et maintenant
• à faire les choses à partir de moi, dans toute mon authenticité
• à m’aimer, dans mes ombres et mes lumières.

Les clés pour le parent accompagnant.

Élever un enfant, c’est lui permettre de garder vivant en lui ce qui fait son essence et qui est en germe en lui dès sa naissance. Quatre grandes directions, comme les quatre points cardinaux, donneront une saine orientation à nos actes.
• Savoir accueillir les émotions, toutes les émotions, les leurs comme les nôtres.
• Favoriser leur concentration, un incontournable dans notre monde toujours plus « speed » et numérisé, afin de faciliter la présence à soi.
• Inciter à l’autonomie pour une meilleure confiance et estime de soi. Elle prépare à la notion de centrage, c’est-à-dire faire à partir de soi.
• Explorer l’unité corps-cœur-esprit en ne laissant aucune notion de côté, afin de faire émerger l’amour de soi et envers autrui.

Christine Thélier - illus parents conscients

Le format

Résolument adaptables à vos besoins, les formules sont diverses.
Ci-après quelques exemples de parcours réalisés dans différentes structures.
• 2 heures tous les 15 jours en milieu associatif inter-culturel.
• 2 heures par mois en soirée dans l’enceinte de l’école ou auprès de regroupement de parents dans la sphère privée.
• 1 h 30, suivies 15 jours après d’un débrief d’1 heure en entreprise.
• 4 modules de 2 heures en école sur sujets ciblés.
• 2 interventions de 2 heures en pré-rentrée pour le personnel éducatif.
• …

Christine Thélier - illus parents conscients 2

Vous souhaitez affiner votre projet, rejoindre un groupe existant, vous inscrire à un stage : prenez contact.
Tarif pour les sessions, séances individuelles et stages : me consulter.

Ces ateliers m’ont été d’une aide précieuse et le sont toujours ! Dans notre cellule familiale, nous n’avions pas de cadre temporel et c’était la source de nombreux problèmes. J’ai compris aussi que pour changer les choses, je devais être convaincue de ce que je voulais. Résultats : mon fils a arrêté́ de faire des crises la journée. Il a mieux dormi la nuit. Il a fait la sieste. Moi ça m’a reposée et c’était plus facile au jour le jour de trouver des solutions pour tous les autres petits problèmes. Je me suis aussi permise un petit temps pour moi chaque jour, à faire du coloriage. Je suis aussi beaucoup plus attentive à mes besoins et je tire la sonnette d’alarme auprès de mon compagnon qui prend le relais avant que la pression ne monte trop en moi. Après quelques mois de mise en pratique, je sens que je suis beaucoup moins fatiguée avec mon fils. Et j’ai plus de plaisir dans tout ce que je fais avec lui.
Voilà : des super outils à la portée ! Merci !
Emmanuelle.

Ce matin, en ouvrant la porte de la chambre de ma fille, je la vois pleurer douloureusement. Je me suis alors rappelée l’atelier sur les émotions. A ce moment précis, la plus belle chose que je pouvais faire pour soulager ma fille était non pas de parler à son cerveau, mais de la laisser s’exprimer et libérer ses émotions. Je me suis alors assise auprès d’elle et je l’ai enlacée avec la plus grande délicatesse dont j’étais capable. Elle s’est mise à pleurer à chaudes larmes, avec des sanglots qui n’en finissaient pas… Je suis incapable de dire combien de temps on est resté dans les bras l’une de l’autre, sans aucun mot, mais beaucoup de réconfort, d’amour, de tendresse, de compréhension, de sécurité et surtout la permission d’être, de ressentir, d’exprimer, d’aimer… Au bout d’un certain temps, ma fille s’arrêta de pleurer, se recula légèrement et me dit : « Maman, Apolline n’a pas la même foi que moi…crois-tu qu’on se reverra un jour ?… »
Et là, lorsqu’elle le décida, on a commencé à discuter de la vie, de la mort, du deuil…
Je ressens une grande satisfaction et une grande fierté d’avoir su réagir de la sorte. J’ai vraiment le sentiment d’avoir su accompagner et soulager ma fille…
Merci Christine !
Fatiha